Entre autres, l'effectif des ARM est revalorisé à 54 équivalents temps (ETP) plein pérennes (avec l'embauche de 6 agents de nuit et publication des avis de vacance de postes), confirmation du renfort d'un ETP ARM supplémentaire pour douze mois au titre de la « dette sociale » pour éponger les heures supplémentaires.
Au final, les salariées ont fait plier la direction sur tous les points qui ont provoqué leur lutte, sauf sur une revendication portant sur la création de 8 postes, mais où elle concède 6 postes pérennes et l’ajout d’un poste sur une année et elle recule sur sa gestion des plages horaires atypiques imposées.
Au vu de ces avancées majeures, les ARM ont décidé ensemble de suspendre la grève débutée le 10 janvier. ils ont jugés utile de mettre en œuvre une phase de finalisation avant de mettre un terme définitif à la grève.
Cette lutte aura été d’une rare intensité au CHU de Bordeaux tant par sa durée, sa radicalité et la détermination des ARM et des syndicats (Sud et CGT) qui les ont accompagné tout au long de leurs revendications.
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