Yvan Le Bolloch qui tourne un documentaire au cœur du mouvement social de ce printemps est passé sur le stand du journal des militants de la CGT ce 1er mai
L’équipe de la Nouvelle Vie ouvrière s’est installée sur la parcours de la manifestation du 1er mai à Paris pour y vendre le numéro du mois de mai consacré notamment à mai 68. Franc succès avec plus de 50 exemplaires vendus.
A la boutique NVO.fr et à la boutique CGT, 263, rue de Paris, 93516 Montreuil cedex.Dans le cortège parisien, photographes et reporters de la NVO font le job, battant le pavé, tandis que d'autres tenaient boutique sous un beau soleil printanier. Parmi celles et ceux qui s'arrêtent sur le stand, il y a des prévoyants à la recherche de la VO Impôts, ceux qui veulent tailler la bavette et ceux qui découvrent qu'il existe une presse syndicale qui parle des luttes, qui donne la parole aux syndiqués, qui décode les réformes en cours, décortique le droit social, aiguise l’appétit de culture, etc…
Les discussions vont bon train et le numéro 3568 de la NVO, spécial Mai 68, rencontre un franc-succès avec ses fac-similés du journal de l'époque (1). Une jeune fille l'achète pour l'offrir à ses parents qui « sont à la CGT ». Alors que la tête de la manifestation est en route (elle sera bientôt bloquée sur le pont d'Austerlitz par les Black Bloc), le cortège de la CGT Val-de-Marne passe devant le stand NVO. Au micro, le camarade Benjamin Amar profite de cette pause pour faire une pub d'enfer au journal de la CGT, incitant les militants à s'abonner pour soutenir leur presse. Ni une, ni deux, le journal se retrouve bientôt dans les mains franciliennes. Quand d'autres qui l'ont déjà lu, le portent roulé dans la poche arrière de leur Jeans : lunettes et blouson noirs, le comédien, chanteur et guitariste Yvan Le Bolloch passe ainsi tranquille dans la manif, presque incognito mais pas sans la NVO…
Défense de l'emploi et des libertés, abrogation de la "réforme" de l'assurance chômage, défense des services publics notamment de l'énergie, salaires, solidarité... Lire la suite
Ce 1er mai, "on veut être là en présentiel. Au regard du mécontentement des salariés, des chômeurs, des intermittents, on a besoin de se retrouver" a déclaré à l'AFP la... Lire la suite
