L’accord conclu ce jeudi avec le syndicat irlandais ne mettra pas fin à l’ensemble de ces conflits : hors d’Irlande, les représentants du personnel demandent surtout que chaque employé de Ryanair dispose d’un contrat de travail stable basé sur la loi de son pays de résidence. Dans les deux semaines à venir, les pilotes irlandais doivent se prononcer sur cet accord négocié par leur syndicat.
La compagnie low-cost a été confrontée le 10 août à sa première grève paneuropéenne de pilotes, avec des arrêts de travail non seulement en Irlande, mais aussi en Allemagne, en Belgique, en Suède et aux Pays-Bas, qui avaient entraîné 400 annulations de vols.
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