La CGT de Paris accueille en musique les nouveaux syndiqués
Comme beaucoup d’autres structures de la CGT, l’union départementale de Paris a enregistré de nombreuses adhésions depuis le début de l’année. Le 21 juin était... Lire la suite
« Je vais écrire au Premier ministre et au ministre de l'Intérieur pour dire que face à des violences de la sorte, quand une association se comporte ainsi, il faut la dissoudre ». L'interruption en fanfare d'un meeting où ce représentant de la nation a vu « l'électricité coupée » et lors de laquelle il y a eu aussi des pétards n'a pas été de son goût, rapporte le quotidien provençal La Marseillaise.
Violences inacceptables, actions « comparables en tout point à ceux des groupes extrémistes violents » (sic), les actions de contestations — utilisées ici par la CGT — semblent définitivement éloignées du petit monde cotonneux dans lequel vivent les membres de la majorité parlementaire. Ils semblent oublier le monde réel, celui de la casse sociale et de la répression violente, de « l'escalade répressive » comme l'écrit La Marseillaise, qu'ils contribuent à renforcer jour après jour.
L'UD CGT 13, qui a par ailleurs du se battre pour obtenir la libération d'un de ses militants arrêtés après avoir manifesté contre le Bastion social, l'un des groupes (bien réels cette fois-ci) de ces fameux « extrémistes violents » s'étonne de la plainte déposée par le référent LREM du département. Contrairement à ce qu’il avait annoncé au téléphone à l'UD, quand il affirmait vouloir apaiser le climat.
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Nous avons demandé à Sophie Binet, secrétaire générale de l'Ugict, comment la CGT peut gagner en représentativité parmi les ingénieurs, cadres, techniciens et agents de... Lire la suite